Et ma douleur dans tout ça?
La douleur est une prise de conscience. La douleur sert à avertir la personne que l’intelligence du corps a de la difficulté à faire son travail correctement. Elle dit à l’intelligence du corps qu’il faut changer quelque chose. C’est le corps qui sonne l’alarme: « Réveille-toi! Il y a un problème! »
Est-il important de trouver ce qui nécessite votre attention, ce qui requiert un changement? Oui, et vous êtes évidemment la seule personne qui puisse le faire. Toutefois, ce n’est pas votre intelligence conscience ou éduquée qui vous aidera à trouver vos réponses; c’est plutôt votre sagesse innée qui fera inconsciemment presque tout ce travail.
Dans un grand moment d’inspiration, vous vous écrierez: « Ah, voilà l’explication! » ou « Je ne ferai plus jamais ça! » ou vous finirez tout simplement par COMPRENDRE. Cela se produit quand votre intelligence innée transmet sa découverte à votre intelligence subconsciente, consciente ou éduquée.
Il arrive souvent que vous vous mettiez à tousser, à faire de la fièvre, à pleurer ou à rire: c’est votre corps qui indique son besoin de changement. Il se peut, par exemple, que votre sagesse innée suggère à votre intelligence éduquée de manger tel ou tel fruit, de téléphoner à telle ou telle personne ou de lire telle ou tel livre.
Notre but, à travers la chiropratique Network, est d’aider votre sagesse innée intérieure à s’exprimer plus facilement et plus naturellement. Au lieu de vouloir contrôler les directives de l’intelligence de votre corps ou votre prise de conscience, nous détecterons vos subluxations et nous inviterons votre corps à faire les corrections nécessaires.
Dans notre centre de santé chiropratique Network, nous ne mettons pas d’emphase sur vos symptômes (douleurs, malaises). Parler des symptômes n’aide en rien à localiser les subluxations qui nécessitent un ajustement. De plus, le corps utilise les symptômes pour vous dire qu’il n’a plus la souplesse nécessaire pour réagir adéquatement. Quand le corps est prisonnier d’un modèle de comportement dominant, il ne nous viendra jamais à l’esprit de renforcer ce modèle. Parler de symptômes ne contribue pas à diminuer le malaise, mais souvent à l’intensifier. Nous voulons vous aider à vous libérer, et non pas parler de votre dépendance.
Nous ne traiterons donc pas vos symptômes, ni ne lutterons contre votre condition. Peu importe ce dont vous voulez vous débarrasser, vous finirez toujours par en avoir plus. Lorsqu’on essaie d’arrêter un enfant de crier ou de pleurer en intervenant sur la manifestation, on ne réussit généralement qu’à empirer la situation. Évidemment, à force de persister vous forcerez l’enfant à arrêter. Mais vous n’aurez réussi qu’à pousser l’enfant à refouler ses sentiments.
Toutefois, si vous comprenez que l’enfant pleure parce qu’un de ses besoins n’est pas comblé et que vous créez l’environnement nécessaire pour combler ses besoins, l’enfant cessera de pleurer de lui-même. L’enfant et vous sortirez tous les deux grandis de cette expérience.