Une étude provenant de la clinique Mayo a permis de découvrir que les enfants chez qui on avait diagnostiqué le syndrome du déficit de l'attention recevaient plus de soins médicaux pour des blessures, des infections et de l'asthme que d'autres enfants. L'étude ne démontre pas encore avec certitude si ces jeunes ont réellement plus de problèmes de santé ou s'ils sont considérés comme ayant des problèmes de santé parce qu'ils vont plus souvent voir les médecins.
L'étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association, a suivi plus de 4 000 enfants de la région de Rochester au Minnessota parmi lesquels plus de 300 étaient atteints du syndrome du déficit de l'attention. Aux États-Unis de même qu'au Canada, ce phénomène semble toucher environ 4 à 12% des enfants, pour la plupart des garçons. Les symptômes peuvent être une capacité réduite de l'attention, un comportement impulsif, de la difficulté à se concentrer et à rester assis.
Certaines études ont mentionné que les enfants atteints de ce "syndrome" se blessaient plus souvent sur les terrains de jeux ou étaient plus souvent impliqués dans des accidents avec des automobiles (ou se faisaient plus souvent renverser (ou tamponner) par des automobiles. D'autres études ont également spéculé que ces enfants étaient probablement plus faibles et plus vulnérables aux infections.
Toujours selon les études, les risques de blessures et d'infections sont légèrement plus élevés chez les enfants atteints du syndrome du déficit de l'attention. Le docteur James Perrin, professeur en pédiatrie à la faculté de médecine de l'université Harvard, dit que les enfants ayant ce syndrome consultaient un médecin plus souvent que les autres enfants et donc qu'il y avait une plus grande probabilité qu'on diagnostique un problème de santé chez ces enfants.
Pour des raisons " inexplicables", le taux des enfants atteints du syndrome du déficit de l'attention a augmenté de 300% depuis les dernières dix années. En fait, le syndrome du déficit de l'attention n'a été mis en évidence qu'après la mise en marché du Ritalin. Enfin ....une pilule pour "régler" le problème de l'enfance ! Pourtant des recherches ont démontré que les gens qui bénéficiaient de soins Network possédaient une plus grande capacité d'adaptation et de concentration. Les chercheurs ont aussi rapporté que cette capacité augmentait d'autant plus que la fréquence des soins Network était rapprochée. De plus, les parents et les grands-parents des enfants "trop actifs" nous disaient que ceux-ci étaient plus calmes, moins impulsifs et plus attentifs lorsqu'ils étaient ajustés de façon régulière.
La chiropratique Network ...c'est aussi pour les petits!
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Source:
The Associated Press 1/3/01 ©Gestion Pomme d'Api Inc 02.09.01
Auteur: C. Le Blanc, DC & E. Veillette, DC